Le média des patriotes
mardi 13 mai 2008
Louis ALIOT ? Un militant avant tout !

Une brève biographie

Louis Aliot est né d'un père originaire d'Ax-les-Thermes en Ariège au sein d'une famille de gauche et d'une mère rapatriée d'Algérie de Bab El-Oued issue d'une famille ayant basculé de la gauche vers la droite nationale dans une période difficile marquée par la tragédie algérienne et l'exode.


Il a suivi ses études secondaires au collège d'Ax-les-Thermes en section ski-études puis tennis-études. C'est un amateur de rugby, sport qu'il a pratiqué pendant plus de dix ans. C'est au lycée et lors de la première cohabitation, qu'il a fait son choix politique. Ecoeuré par ce qu'il considère alors comme les reniements de la droite chiraquienne et le cynisme de la gauche mitterrandienne, il observa avec attention le parcours du groupe parlementaire FN et de son chef. Louis Aliot explique ce qui l'a décidé à s'engager un soir de 1988 : "À Lavelanet, dans mon département, lors d'un meeting de Jean-Marie Le Pen, j'ai croisé la haine : celle de la gauche « humaniste », « tolérante » et « progressiste » qui braillait dans la rue, le poing levé en chantant l'Internationale."

Il est ainsi élu en 1998 conseiller régional de Midi-Pyrénées sur la liste de Haute-Garonne. Il est remarqué par Jean-Marie Le Pen qui le nomme directeur de cabinet en janvier 1999. Il quitte le cabinet de Jean-Marie Le Pen en septembre 2000 pour terminer sa thèse de doctorat de droit dont le jury sera présidé par Jean Foyer, ancien ministre de la justice du Général de Gaulle.

Il devient docteur en droit le 18 juin 2002 et sa thèse fait l'objet d'une publication aux éditions De Guibert. Il est depuis 1998 chargé d'enseignement à l'université de Toulouse I en droit constitutionnel et droit public.

En mai 2001, Jean-Marie Le Pen le nomme coordinateur de la campagne présidentielle aux côtés de Bruno Gollnisch. Il sera à l'origine d'un des axes fondamentaux de la campagne Le Pen 2002 : « La République référendaire » ainsi que d'un projet sur le codéveloppement avec l'Afrique.

Après la présidentielle, il est envoyé à Perpignan pour relancer le FN dans une fédération difficile. Il sera candidat aux législatives sur la circonscription de Perpignan 1 et sera contraint de démissionner de son poste de Secrétaire Départemental pour mener la liste régionale en Midi-Pyrénées en septembre 2003 à la suite de la défection de Bernard Antony. Sa liste obtient le score de 12 % au second tout, améliorant ainsi son score du premier tour tant en voix qu'en pourcentage. Il assurera dans le même temps la direction des campagnes régionales et européennes en Ile-de-France, partageant son temps entre la région Midi-Pyrénées et Paris. Depuis mars 2004, il est président du groupe FN.

Depuis juin 2002, il rédige, chaque semaine, un billet politique dans National-Hebdo qui à fait l'objet en 2005, sous forme de recueil, d'une publication intitulée Mes billets pour la France.

Aux éléctions municipales de mars 2008, il prend la tête de la liste Perpignan, ville libre et obtient 12,28% au premier tour et 10,42% au second, faisant ainsi revenir le Front National au conseil municipal de Perpignan.

Diplômes

2002 : Docteur en Droit Public.
1997 : D.E.A. de Science Politique.

L' homme politique

1990 : adhésion au FN en Ariège.
1991 : major de l'Université d'été FNJ
1997 - 1998 : Délégué régional FNJ Midi-Pyrénées / Languedoc-Roussillon
2000 : première élection au comité central du FN
janvier 1999 - septembre 2000 : Directeur de Cabinet de Jean-Marie Le Pen
1999 - 2000 : secrétaire départemental de la Haute-Garonne.
Avril 2001 à mai 2002 : Coordinateur de la campagne présidentielle Le Pen 2002.
2002 - 2004 : secrétaire départemental des P.O. (66)
Depuis juin 2002 : membre du cabinet de Jean-Marie Le Pen
Avril 2003 : réélu au Comité central du FN.
Depuis Avril 2003 : membre du Bureau Politique du FN et membre de la Commission d'investiture
Juillet 2003 : secrétaire régional FN de Midi-Pyrénées
Depuis mars 2004 : Président du groupe FN au Conseil Régional de Midi-Pyrénées
Depuis le 11 octobre 2005 : secrétaire général du FN
Depuis le 16 mars 2008 : conseiller municipal de Perpignan

Divers :

Ancien Secrétaire général de Générations LE PEN.
Ancien Secrétaire administratif du Cercle National des Rapatriés (CNR).

Mandats électifs :

1998, réelu en 2004 : membre du conseil régional de Midi-Pyrénées
Depuis le 16 mars 2008 : conseiller municipal de Perpignan

Publications
Université :
2003 : thèse de Droit Public publiée aux éditions François-Xavier De Guibert.
2003 : article dans la Revue du Droit Public - N°1 consacré aux présidents français et à l'Europe sous la Cinquième République.
Avril 2003 : article dans la revue juridique Les Annonces de la Seine - n°24 consacré au droit de la décentralisation et plus précisément à « la régionalisation des transports ferroviaires ».
Avril 2003 : L'élection du Président de la Ve République au suffrage universel direct.


Politique :
Mes billets pour la France, éditions Refondation Nationale, 2005.


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By NPI at 5/13/2008 | Permalink 0 comment(s)
Un nouveau fardeau sur le dos des enfants


Communiqué de presse de Jean-Marie LE PEN


Le président de la République s’acharne sur les enfants de France. Après la mémoire obligatoire de la Shoah, voici la mémoire obligatoire de l’esclavage. Quelle sera la troisième repentance, le troisième fardeau de culpabilisation imposé aux enfants ?
Le chef de l’Etat fait de la France un bouc émissaire, que les écoliers doivent conspuer chaque année.
C’est la destruction de tout esprit national. Une école qui n’apprend pas aux enfants à être fiers de leur pays et de leurs ancêtres est une entreprise de subversion des principes d’éducation, et de la société. Car il n’y a pas de vie commune possible sans piété nationale.

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By NPI at 5/13/2008 | Permalink 0 comment(s)
lundi 12 mai 2008
Elections en Serbie : Les patriotes confirment leur prédominance dans le paysage politique
C’est vers une nouvelle période d’instabilité que la Serbie , tel le radeau de la Méduse , dérive une fois de plus. Arrivés en tête du scrutin avec quelque 38 % des voix, les « pro-européens » derrière Boris Tadic (comprendre les mondialistes antinationaux du DS, du G-17 Plus et du SPO de Vuk Draskovic) vont devoir faire face aux 29 % des patriotes du SRS auxquels il faut ajouter les 11 % des partisans du Premier ministre sortant Vojislav Kostunica. Une fois de plus, aucune majorité nette ne se détache de la représentation nationale à la Skupsina (Assemblée nationale serbe), ce qui augure de difficiles moments à venir, à l’heure où le pays connaît une très grave crise identitaire, économique, financière, diplomatique et politique, du fait de l’instabilité créée non seulement par l’« indépendance » autoproclamée du Kosovo, mais les années d’incurie depuis l’éviction de Slobodan Milosevic fin 2000. Et le discours très menaçant du président Tadic, hier soir, à l’encontre de ceux qui n’avaient pas voté pour sa coalition euro-mondialiste, n’est pas pour rassurer.

Projection de la future Skupsinaen bleu : les élus du SRS et du DSS de Kostunica –en rouge foncé : les élus SPS (socialistes) –en vert : les « minorités » (magyarophones alliés aux islamistes) -en rouge sang : les ultralibéraux européistes du LDPen jaune : les élus du DS et de ses alliésultralibéraux, mondialistes et cosmopolites

Une nette majorité de patriotes !

« Le Kosovo est le cœur de la Serbie et être serbe signifie dire que le Kosovo appartient à la Serbie et à la nation serbe. Cela a toujours été comme ça et doit rester ainsi ». Telle était en substance le message maintes et maintes fois répété durant cette courte campagne électorale par le candidat des patriotes serbes, Tomislav Nikolic, numéro 2 du Parti radical de Serbie, dont le président, Vojislav Seselj, est prisonnier politique à La Haye. « Aucun pays au monde n’a été traité comme la Serbie l’a été, en lui demandant d’abandonner une partie de son territoire soi-disant pour son propre bien », a surenchéri Vojislav Kostunica, Premier ministre libéralo-droitiste et candidat du Parti démocratique de Serbie, le DSS. Un Kostunica qui semble avoir fait du chemin depuis octobre 2000, où il avait été sorti de son placard universitaire de la faculté de droit de Belgrade pour devenir la figure de prou des comploteurs anti-serbes de la DOS , opposition « démocratique » de Serbie, organisée, financée, conseillée, manipulée par des officines occidentales, et parfois non des moindres puisque figurait en bonne place dans ce coup d’Etat contre Slobodan Milosevic, celle de Langley en Virginie (USA), la tristement célèbre CIA.

Dire que les Serbes, aujourd’hui, sont dégoûtés de la clique politicienne qui a pris le pouvoir fin 2000 à Belgrade, est d’une banalité sans égale. Les gouvernements issus de la DOS qui se sont succédés jusqu’ici ont été d’une incompétence affligeante, que cela soit au niveau économique et social, que politique, culturel, éducatif, aussi bien qu’à l’international, sur la préservation des libertés, sur la défense nationale, sur les réformes pour « entrer » dans l’Union européenne et, comble de l’incapacité, pour préserver l’intégrité territoriale du pays. Et lorsque l’on parle d’incompétence, on met bien évidemment de côté des trahisons quotidiennes, les magouilles mafieuses, les coups tordus et les petites lâchetés des uns et des autres.

En tout état de cause, le camp des mondialistes coalisés n'a apparemment pas réussi à entamer significativement le soutien aux patriotes et nationalistes, qui frôle toujours les 50 % des suffrages de l'électorat - 6,7 millions de personnes - répartis sur trois partis. « Cette élection a montré que pour une majorité de Serbes, l'objectif principal est une Serbie souveraine dans ses frontières reconnues au plan international, et que l'adhésion à l'Union européenne n'arrive qu'en deuxième position », a souligné Tomislav Nikolic, hier soir à l’annonce des derniers résultats.

L’échec des « minorités » ghettoïsées

Avec environ 7 % des suffrages exprimés, les « minorités » ethno-religieuses, tant choyées par les mondialistes de la coalition de Tadic, accusent un échec cuisant. Elles seront d’un maigre secours pour former un éventuel gouvernement « pro-européen », tant par leurs effectifs que leurs propositions essentiellement orientées vers le communautarisme le plus ghettoïsé.

La Coalition des Albanais de la Vallée de Presevo, qui avait réussi non sans difficultés à faire élire un député lors des dernières élections parlementaires et des dernières législatives en janvier 2007, avait éclaté avant même le début de la campagne, à cause de désaccords financiers entre les deux principaux partenaires de la Coalition - le Parti pour l’action démocratique (PVD) de Riza Halimi et l’Union démocratique de la Vallée (BDL) de Skender Destani. Organisations pourtant toutes deux étroitement liées à l’UCPBM, l’UCK de la Vallée de Presevo, mouvement terroriste islamo-mafieux, auteur de dizaines de meurtres, attentats et enlèvements depuis 2000. Toutes acquises au projet de Grande Albanie ethniquement et religieusement purifiée, ce sont ces mêmes forces qui avaient organisé le « référendum » illégal de 1992 réclamant une « autonomie territoriale et politique » pour le Sud de la Serbie , et « le droit de s’unir au Kosovo », puis à l’Albanie.

Ce dimanche, bien que la coalition portait le même nom qu’en 2007, elle regroupait seulement le PVD, le Mouvement du progrès démocratique (LPD) de Jonuz Musliu, l’Union démocratique albanaise (UDSh) de Bujanovac et le Groupe des Citoyens – Rahmi Zylfiu de Presevo. Rien que des groupuscules stipendiés par les instances européennes de Bruxelles, diverses ONG internationales intimement assujetties au Département d’Etat américain, voire au Pentagone, et quelques réseaux islamistes de soutien aux « frères » des Balkans, comme l’Islamic Relief Foundation.

Preuve de leur peu d’importance dans le paysage politique serbe, c’est seulement au dernier moment que la Coalition des Albanais a réussi à présenter les 10 000 signatures nécessaires pour enregistrer une liste pour les élections parlementaires. Cela n’a été possible que grâce à l’aide des Bosniaques islamistes du Sandjak, des Hongrois de Voïvodine et de certaines ONG mondialistes basées à Belgrade qui ont récolté les paraphes nécessaires. Au final, seuls les islamistes du docteur en théologie Sulejman Ugljanin pour un « Sandjak européen » (moins de 1 %) et la Coalition hongroise (moins de 2 %) auront quelques élus à l’Assemblée.

Mais, une fois de plus, preuve est faite que, malgré leurs dénégations, les représentants officiels des « minorités » magyarophones font délibérément le jeu des extrémistes musulmans contre les intérêts de la nation et du peuple serbes et, au-delà, contre la paix civile, non seulement en Serbie, mais dans l’ensemble de l’Europe du Sud-Est.

« Pour la Coalition hongroise, une alliance idéale post-électorale ne serait envisageable qu’avec les partis d’orientation proeuropéenne, notamment le Parti Démocratique (DS), le Parti libéral démocrate (LDP) et les autres forces qui s’engagent pour l’entrée de la Serbie dans l’Union européenne », avait déclaré à Danas, le 7 mai dernier, Istvan Pasztor, tête de liste de la Coalition hongroise et président de l’Alliance des Hongrois de Voïvodine (SVM), donnant délibérément un ton antinational à son projet politique. En somme, il entend s’allier avec deux des partis les plus corrompus idéologiquement et politiquement, euro-atlantistes et totalement ouverts aux thèses mondialistes les plus insanes. C’est donc résolument vers une voie euro-régionaliste, séparatiste, voire de ghettoïsation que Pasztor cherche à mener ses rares électeurs, par bêtise politicienne, sans doute aussi par vénalité et, surtout, par cupidité et égoïsme, comme tous les séparatistes euro-régionalistes.

Une nouvelle fois, la Serbie risque bien d’être dirigée par des politiciens qui ne cherchent qu’à mettre en avant leurs petits intérêts particuliers par des «calculs de boutiquiers», comme l’ont souligné durant la campagne les souverainistes. La Serbie ne peut pas s’allier à une « Europe » dont les membres ont reconnu contre son avis l’ « indépendance » autoproclamée par les pan-albanais du Kosovo. Pour le Vojislav Kostunica, l’envoi d’une « mission européenne », l’Eulex, pour superviser cette « indépendance » (comprendre : superviser l’épuration ethnique) a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase et l’a conduit à rompre son alliance avec Boris Tadic.

Mais que de temps perdu, puisqu’il aurait aussi bien pu s’entendre, il y a quelques mois seulement, avec les patriotes du SRS. Kostunica reste donc désormais la clef de la situation politique à venir en Serbie. Deux choses l’une : Où il a le courage de rejoindre une coalition composée du SRS et du SPS, où il préfère, une nouvelle fois, faire le jeu des mondialistes européïstes, destructeurs de la nation serbe.

R. M.

Source : http://uniondespatriotes.hautetfort.com/

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By NPI at 5/12/2008 | Permalink 0 comment(s)
Cantonales: le MODEM en déroute.

Les cantonales des 25 mai et 1er juin prochains dans le 5ème canton du Rhône (5ème arrondissement de Lyon) reproduisent la pagaille du MoDem (ex-UDF) déjà perceptible aux municipales. En effet, le MoDem présentera simultanément 3 candidats opposés entre eux et dont aucun n'a obtenu jusqu'à présent l'investiture de François Bayrou : Thomas Rudigoz, déjà élu sur la liste du PS au Conseil municipal de Lyon et à nouveau soutenu officiellement par le PS ; Anne Pellet, proche d'Eric Lafont menant la liste autonome MoDem aux municipales ; et Marc Augoyard qui figurait déjà sur la liste UMP de Dominique Perben.

Plus personne ne comprend (y compris au sein même du MoDem) à quoi sert encore ce parti sans convictions ni programme. Mais en politique au moins, le ridicule ne tue pas.

La seule candidature raisonnable est celle du FN qui présentera Christophe Boudot, Secrétaire départemental FN du Rhône.

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By NPI at 5/12/2008 | Permalink 0 comment(s)
Les écoles pourries de la République.

Ce lundi 28 avril, un élève a gravement blessé au couteau trois autres élèves au Collège Olivier de Serres à Meyzieu (Rhône). Pendant les cours, l'élève s'est subitement levé pour poignarder deux camarades d'école assis à ses côtés avant de passer dans la salle en face pour en poignarder un troisième. Le délinquant a ensuite pris la fuite et a été interpellé une heure et demie plus tard dans la rue.

Comme après chaque incident, on nous présente le collège en question comme un établissement jusqu'alors réputé "sans problèmes". Mais à y regarder de plus près, les rackets, les violences physiques, les trafics de drogues et les incivilités sont à l'ordre du jour là aussi. Il s'y ajoute un taux très élevé d'étrangers en provenance de nombreux pays entraînant de nombreux problèmes linguistiques, culturels et religieux, sans parler d'un corps professoral souvent ancré à gauche et à l'extrême gauche qui plombe le niveau de l'enseignement. Les écoles de la République produisent des élèves qui ne savent plus correctement lire, écrire ou effectuer une opération de calcul simple (additionner 1,20 € et 50 Centimes sans utiliser une calculette par exemple). Beaucoup de nos élèves dans le Rhône connaissent les noms des fleuves du Brésil et des desserts d'Afrique, mais ne connaissent ni le Rhône ni la Saône qui traversent pourtant leur département, et sont incapables de retrouver sur une carte de France l'emplacement exact du Beaujolais. L'auteur de ces lignes a même rencontré récemment deux élèves lyonnais de terminale qui ne savaient pas se servir d'un simple dictionnaire Larousse ! Ne parlons même pas des langues étrangères. Les connaissances en histoire laissent également à désirer, exception faite bien sûr de l'époque de Vichy mâchée mille fois entre la 6e et la terminale pour culpabiliser les élèves afin qu'ils soient plus tard très réceptifs aux idées gauchos et franc-maçonniques. En biologie, on préfère enseigner aux élèves l'utilisation du préservatif, la soit disante valeur équivalente entre toutes les orientations sexuelles et le bienfait de l'avortement plutôt que de leur apprendre les classiques en anatomie, hygiène et botanique. Au lieu de faire visiter aux élèves un musée d'histoire naturelle ou une cathédrale, on préfère leur payer un voyage à Auschwitz ou une entrée à l'affreuse Biennale de "l'art" contemporain.

Récemment, des élèves du Collège Jean Moulin à Aubervilliers ont massivement écrit à l'inspecteur d'académie de leur département pour l'alerter sur les incidents criminels répétitifs dans leur établissement restés sans réponse. Ils se plaignaient également de la mauvaise qualité scolaire due à ces actes de vandalismes. Mais lorsqu'on regarde les mesures prévues par le gouvernement français censé relever le niveau scolaire et lutter contre la délinquance, la transformation des écoles des crétins" en école de qualité ne semble toujours pas à l'ordre du jour. Ou pour le dire comme un élève de troisième du collège susmentionné : "on a touss ecri o directeur de l'akademi ki nous a pourtan pa repondu". Serait-ce parce qu'il n'a pas tout simplement réussi à lire le message ?
© http://www.fn69.fr

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By NPI at 5/12/2008 | Permalink 0 comment(s)
Bande annonce pour une émission sur l'immigration en Grande Bretagne...

 
By NPI at 5/12/2008 | Permalink 0 comment(s)
dimanche 11 mai 2008
Marine Le Pen annonce une plainte en diffamation contre Libération
Marine Le Pen a annoncé qu'elle allait déposer une "plainte avec constitution de partie civile" pour diffamation "en raison d'"affirmations portant atteinte à son honneur et à sa considération" contenues dans un article de Libération samedi.

Dans un communiqué, la vice-présidente du Front national, par ailleurs avocate, juge que cet article intitulé "un créancier du FN hausse le ton" contient des "accusations inadmissibles" la visant.
L'article a trait au contentieux opposant le Front national à l'eurodéputé Fernand Le Rachinel, qui a prêté une importante somme d'argent au FN.

 
By NPI at 5/11/2008 | Permalink 1 comment(s)